Dylan Thomas (1914-1953)

tenby38On ne peut venir au Pays de Galles sans mentionner Dylan Thomas, un des grands poètes gallois du vingtième siècle. A l’occasion du centième anniversaire de sa naissance, on voit ses traces partout : dans les gares, les libraires et, bien sûr, les pubs. A Tenby, le plus vieux pub du village affirme que Dylan Thomas y est un jour venu avec son manuscrit « Under the Milk Wood » (Au Bois lacté) et qu’après une soirée bien arrosée, il y oublia son manuscrit sur l’un des tabourets du bar. Je ne suis pas arrivée à vérifier la véracité de cette affirmation mais il me plaisait de croire, lorsque j’y étais assise dans un coin près du feu, que le poète y avait passé quelque  temps et, qui sait, peut-être même travaillé sur quelques vers.

4 réflexions sur « Dylan Thomas (1914-1953) »

  1. Bonjour Sylvie,
    Je suis abonné fifty-fifty à des blogs de dames comme à des blogs écrits par des hommes. Ce qui est frappant, c’est que les hommes cherchent souvent à « briller ». Ont-ils donc quelque chose à prouver ? Vous, vous n’avez rien à prouver, votre bagage intellectuel parle pour vous. Mais eux c’est les coqs dans la basse-cour : savoir-faire langagier, jeux de mots (parfois douteux), copiés-collés éhontés de WIKI, d’articles de journalistes.
    Je tombe sur votre dernier billet et ça fleure bon la sobriété, l’ authenticité. Personnellement, je n’en demande pas plus.
    PS j’ai demandé au Père Noël une besace pleine de « like ». Il me l’amène demain soir… si j’ai été sage…
    Bonnes fêtes à vous.
    michel

      1. Je reviens sur mon commentaire, quitte à paraître lourd. Il me revient un passage d’un écrivain contemporain important—– dont j’ai oublié le nom :  » …car les hommes ne se livrent jamais entièrement, car alors ils seraient vulnérables. Ils choisissent souvent le pouvoir, à la place…. » C’est Z. qui s’exprime. Je n’aurais pu m’exprimer mieux, à sa place.
        Le Père Noël est passé. Avec son sac de « like ».
        Et un livre, aussi.

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