Jonathan Edwards

Les rues étaient ce qu’elles étaient.

Les rues étaient des lieux où il y avait des individus

qui faisaient des trucs : la plupart du temps

marcher. Entrer et sortir des magasins, surtout, ou

faire ce qu’ils pouvaient …*

Edwards, Jonathan (2014). « City » in My Family and Other Superheroes, Seren Books.

(Il a gagné le prix de poésie britannique  Costa en 2014 : bien mérité)

*en l’absence de traduction française, je vous propose la mienne

2 réflexions sur « Jonathan Edwards »

  1. On aurait aimé avoir la suite. Ca me rappelle un roman épistolaire en demi-teinte où tout-à-coup arrive une page inattendue sur Hong-Kong. On se dit, tout comme vous à propos de Jonathan Edwards, que l’auteur a tout saisi. Qu’il aurait même pu se faire du blé (pardonnez-moi l’expression) en écrivant des romans d’aventures, des romans policiers à la Simenon. Il a préféré s’en tenir à la poésie, ce qui est son droit, et après tout, s’il n’est pas dans le besoin…

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