Sur la presqu’île des brisures,
En lui tenant le bras :
Bien sûr, je n’oublierai pas
ces moments, cette main,
nous sommes un souvenir qui dure.
Bien sûr, je ne pleurerai pas
j’ai compris votre destin,
Puis la vague enterra la fin
(à Rabit Island)
superbe texte et belle photo…Bonne journée
http://img11.hostingpics.net/pics/980307P1000579.jpg
meerci Georges 🙂
un souvenir qui dure… brisure quand même.
brisure tout de meme, bien observe 🙂
Un non dit si bien dit…
merci Francis:)
« nous sommes un souvenir qui dure »……..especially lovely.
merci Cynthia 🙂
A moi de dire que j’aime votre blog ;o)
Merci 🙂