Carte postale (7)

ecureuil

Pendant cette parenthèse montréalaise de quelques semaines, j’échangerai les fières canes paradant avec leurs nouveaux-nés pour les écureuils faisant frénétiquement leurs provisions, la rivière paisible pour le vaste Saint-Laurent, qu’on appelle « Le » fleuve. Je remplacerai les bourgeons roses, éclatants, par les couleurs chaudes des érables, et l’air frais du printemps par la lumière nostalgique de l’automne, avant de retourner vers un été que j’ai quitté il y a plus de dix-huit mois.

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