Oh, monsieur, s’écria la nièce, votre sainteté devrait les [les livres] brûler comme les autres. Car une fois guéri de sa maladie chevaleresque, il risque de lire ces livres et de vouloir devenir berger, errer dans les bois et les champs, chanter, jouer du pipeau ou, pire encore, devenir poète, et cette maladie est incurable et contagieuse, dit-on.
Traduit de l’anglais, Cervantes, Miguel de, Don Quixote, traduit (en anglais) par J.M. Cohen, 1950, p. 61
Ah, if only more people would succumb to the « disease of chivalry »!
It is a very refreshing to read, all that folie douce 🙂
You are an illustration of the incurable poetic malady. Thank goodness!
Best disease ever! Thank you so much for your generous compliment
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