Que va-t-il dessiner, sur son canevas blanc,cet homme du dimanche, si le vent ne cesse de siffler en s’attachant aux huiles fraîches de ses pensées? Mes chaussures pleines de sable, tristes comme un samedi sans soleil.
Que va-t-il dessiner, sur son canevas blanc,cet homme du dimanche, si le vent ne cesse de siffler en s’attachant aux huiles fraîches de ses pensées? Mes chaussures pleines de sable, tristes comme un samedi sans soleil.