Lorsqu’il est temps de partir
il vaut mieux de partir
il vaut mieux s’attendrir
sur son ombre, sa jumelle
mais surtout ouvrir ses ailes
et de larmes s’abstenir
Lorsqu’il est temps de partir
il vaut mieux de partir
il vaut mieux s’attendrir
sur son ombre, sa jumelle
mais surtout ouvrir ses ailes
et de larmes s’abstenir
La photo est merveilleuse ainsi que les mots…bon week-end
http://img4.hostingpics.net/pics/465378IMG1768.jpg
Bon weekend Georges 🙂
This poem reminds me of the last stanza of Anne Sexton’s Courage, of putting on the carpet slippers and striding out the door. And separately, I love the glide of that gull over its shadow.
I very much like the carpet slippers image
Quelques lignes de poésie qui ravissent mon coeur. Merci de votre partage.
Roberte Colonel
Merci d’etre passee, Marieliane 🙂
très beau… « partir, c’est mourir un peu… »
Oui, en effet, variation sur le theme