Se fondre et renaître
dans les coincidences de l’eau,
de l’étang, dans ses ombres,
et ne presque plus être,
là, dans une étrange peau,
humide dans la pénombre
Se fondre et renaître
dans les coincidences de l’eau,
de l’étang, dans ses ombres,
et ne presque plus être,
là, dans une étrange peau,
humide dans la pénombre
Une belle photo pour accompagné tes mots que j’apprécie…bon week-end
🙂