*Plage de Tahunanui, Nelson 2017, ©Sylvie G
enjamber les planches de bois,
jusqu’à la scène de sable blanc,
et se prêter de bonne foi
au couronnement
par le soleil : c’était l’été
presque l’automne,
ou bien l’hiver,
quoi qu’il en soit c’était dans l’air,
et il n’y avait personne
Je ne connais pas le mot juste en français pour cela, mais j’adore comme tout dans cette image, y compris l’image elle-même, est ‘askew’ 🙂 Pour moi, cela provoque toujours une nouvelle façon de voir les choses. Merci Sylvie!
« de travers », je crois que cela traduit bien ce qu’on ressent sur ce petit pont de bois 🙂
« de travers » — alors c’est encore plus joli en français (comme d’habitude, hein?) Je veux bien une philosophie « de travers »… enfin, d’une certaine façon on la retrouve chez Merleau-Ponty, mais il faut le mettre à jour peut-être? Cette image ainsi que ton poème existent comme un beau microcosme d’une telle philosophie 🙂
phenomelogie de la perception a travers l’image…
On irait une image en 3D
Oups, « dirait »
parfois mon appareil a des moments de genie !
Ce n’est sans doute pas que l’appareil 😉
presque seulement l’appareil !
une plage tranquille et la mer
pour un morceau de paradis…
grace a un petit pont de bois….