Christmas Jumper

Tenby 2014, December, canon, Sylvie GE

I wrote this post in December 2014, accompanied by photos of themed sweaters taken at Peacock. This was my first visit to Tenby. It’s the third time I’ve come back to it in December, In the meantime, the 2014 post (below) still seems relevant to me.

 

The BBC recently released a documentary about Tatler’s magazine, a monthly aimed at 150,000 subscribers (or aspiring to join) the British elite. The docu teaches us, among other things, that in these circles, one should not mourn the death of a loved one, but that it is fashionable to mourn the death of one’s dog. We will also accept the most outrageous behavior, provided we do not wear the wrong shade of blue on Tuesday. More recently, the magazine informed its subscribers that they could wear the « Christmas jumper », provided they wear it « ironically ». I also note a strong return of the said sweater in this corner of the country, but I must admit that I cannot distinguish  those who wear it ironically from the others. As for me, when I have found the theme that I can identify with, I promise to wear my « Christmas jumper » poetically. Happy poetic New Year!

Le pull thematique

Tenby, il y a quelques annees
  1. J’ai rédigé ce billet en décembre 2014 pour la première fois, accompagné de photos de pulls thématiques prises chez Peacock. Il s’agissait de ma première visite à Tenby. En attendant ma prochaine visite, le billet de 2014 (ci-dessous) me semble toujours d’actualité.

La BBC a récemment présenté un documentaire au sujet du magasine Tatler’s, un mensuel s’adressant à 150,000 abonnés faisant partie de l’élite britannique (ou aspirant à en faire partie). Le docu nous apprend, entre autre choses, que dans ces cercles, on ne doit pas pleurer la mort d’un proche, mais qu’il est de bon ton de pleurer la mort de son chien. On acceptera par ailleurs les comportements les plus outranciers, à condition de ne pas porter la mauvaise teinte de bleu le mardi.

Plus récemment, le magasine a informé ses abonnés qu’ils pouvaient porter le « Christmas jumper », à condition de le porter « ironiquement ». Je constate depuis quelques années  un retour en force du dit pull  dans ce coin de pays, mais je dois avouer que je n’arrive pas à distinguer ceux qui le  portent  le portent ironiquement des autres. Quant à moi, lorsque j’aurai trouvé le thème qui « me correspond », je me promets de porter mon « Christmas jumper » poétiquement.  Bonne année poétique !

 

Un blog experimental voue a la poesie du quotidien sous toutes ses formes/An experimental blog devoted to poetry in all its forms