En regardant cette dictée*, parfaite, je remarque surtout la beauté de sa calligraphie, qui symbolise toute la magie de l’enfance. Pendant qu’on s’applique à maîtriser tous les détours et les aspérités de la calligraphie, il se passe autre chose, mais quoi ? Le vers de Saint-John Perse me revient en mémoire :
Sinon l’enfance, qu’y avait-il alors qu’il n’y a plus?
Eloges (1911)
* La dictée est une gracieuseté de Viggo.