Quand le soleil devient timide
derrière les nuages
de plus en plus braves
que les pensées s’allongent
dans les recoins de l’âme plongent
et de sens deviennent avides
tu sais ce mois,
je l’aime ce mois,
comme un retour vers un moi
qui s’est éparpillé
dans le soleil tout l’été