Laugharne, Pays de Galles, décembre 2016, Canon digital, Polarr, ©Sylvie G
Je sais très bien que ce n’est pas à cette fenêtre qu’il écrivait (il le faisait dans le petit abri à bateau, un peu plus haut sur la route), c’était le pupitre où il tentait peut-être parfois de payer les comptes, ou de rêver, peut-être. Mais cela me faisait tout drôle d’être là où il avait vécu, de nombreuses années, de suivre sa piste, de chez lui au pub, puis au cimentière où il fut enterré (sous une simple croix de bois). Il me semble toujours être là, Dylan Thomas, un de mes poètes préférés, à la voix magnifique.