La brume enveloppait les repères du soir
et les yeux titubaient d’un point hagard
à l’autre : plus moyen d’échapper aux bruits bizarres
de l’esprit et le brouillard
de se lever sur les idées et l’histoire
des bavards, des fêtards
se tenant un peu courbés
très près du bar.
Très bon, et la photo floue : super !
Merci Michusa !
Merci, Sylvie, pour ce beau poème <3
Bisous!, Aquileana 😛