
hobbling gently
on the uneven stones
the past comes back
hobbling gently
on the uneven stones
the past comes back
It is not only the big socks that pulls my socks off, it is also the little cold words, dropped at the last moment, the little abandons, little things, little things like that.
Ce n’est pas seulement le chapeau de laine qui me décoiffe, ce sont aussi les petits mots froids, lâchés au dernier moment, les petits abandons, les petites choses comme cela.
LG et moi sommes montés tout en haut de cette tour faisant partie de la cathédrale de Seville, pas besoin de gym aujourd’hui. On y voit toute la ville (plutôt ennuagée le jour de notre visite). Considérée par beaucoup comme l’une des plus belles cathédrales au monde, la cathédrale de Seville, dont la construction s’est échelonnée sur plusieurs siècles a tout ce qu’il faut pour impressionner le visiteur. Quant à moi, bien que je voie la splendeur architecturale de l’endroit, je m’y sens écrasée. Je préfère me perdre dans les petites rues de la vieille vieille ville, sentir l’odeur des tapas et regarder dans les vitrines le travail magnifique des artisans. Je n’ai jamais vu autant de cafés, de bars et de restaurants qu’à Séville. La vie se passe surtout à l’extérieur, bien qu’il fasse un peu froid. Il y aura sans doute quelques arrêts « tapas » et quelques verres de vin espagnol dans les jours qui viennent.