il y aura des recommencements
des sortes de prières
même pas à genoux dans le sable
des jeudis de mains froides
un passé, un présent
dans la lumière tamisée
au milieu de nuits fragiles
un retour de voyage
et des fenêtres ouvertes
il y aura des recommencements
des sortes de prières
même pas à genoux dans le sable
des jeudis de mains froides
un passé, un présent
dans la lumière tamisée
au milieu de nuits fragiles
un retour de voyage
et des fenêtres ouvertes
les formes divagues
dans les vingt-quatre couleurs
du monde, aujourd’hui
Les touristes convergent vers Nelson à partir du 26 décembre et la plage de Tahunanui (Tahuna) est envahie de tous ceux qui veulent profiter du beau temps. Cela va à l’encontre de ma recherche de solitude, lorsque je vais à la plage. Il suffit cependant d’aller un peu plus loin et, tout à coup on n’est plus à Nelson, mais dans un endroit sauvage, rempli de flore endogène. Le temps de traverser ce petit sentier et je suis transportée dans un autre monde et je peux regarder de loin la foule sur la plage en profitant du beau temps.
En toute honnêteté, cela n’existe pas, vraiment, non ? Pour être tout à fait honnête, il faudrait inclure notre ombre (selon Jung), et cela, on ne peut le faire, pas en public en tout cas. On essaie, donc, on essaie, du mieux que l’on peut.