
sans parole/wordless : Riviere Matai/River

S’immiscer sérieusement dans les catégories délaissées, au bord de l’épanchement, entre les cils délavés du temps (présumément). Insérer à retardement un alphabet étriqué cherchant l’apaisement
*d’abord publié en avril 2019, revu et corrigé en avril 2019
pourvu que l’on sache
derrière la rangée d’arbres
la fumée blanche
Quelque part entre Nelson et Lisbonne en passant par Auckland et Barcelone. Quelques articles sont déjà en ligne pour les prochains jours, jusqu’à ce que les hasards de l’internet me permettent de mettre quelque chose en ligne et de répondre aux commentaires. Je n’ai pas réfléchi à la forme que prendront les articles pendant ce voyage, tout se fera donc au gré de l’inspiration du moment.
Poétiquement vôtre
parce que c’était la nuit mais que c’était bleu
parce que c’était sombre mais que c’était lumineux
parce que le chemin était long mais qu’au bout c’était fabuleux