Dans le froid de l’hiver,
ce désert de l’hiver,
le vent devient éther éteignant
les paupières de la saison polaire.
Une couleur se détache, sur fond de blanc,
de gris, de vert, souvenir d’un tableau solaire.
La mouette s’élève, s’arrache à la terre.
Raille, raille.
Asservie depuis longtemps mouvements stellaires.
« éther éteignant » c’est une redondance poétique que j’adore beaucoup
Merci Nelson, c’est gentil. Bonne soiree !
bravo pour tes mots Sylvie J’aime ! bisous de Brest
Merci Gael et Paul
J’ai passe quelques semaines a Brest il y a quelques annees et j’en ai garde de tres bons souvenirs. Bisous.
Merci Gael et Paul. J’aime bien Brest egalement. J’y ai passe plusieurs semaines il y a quelque annees et j’en ai rapporte de tres bons souvenirs. Merci de me rendre visite sur le blog.
Sylvie G