Ce côté de vous
Qui refusait de prendre l’air
Qui avait mordu la poussière.
Ce côté de vous
Qui aurait donné, tout,
Pour un après-midi passé
Sur un banc public, les doigts entrelacés
Avec ceux de la grande main qui vous a sauvé
De l’abîme, de la désespérance et
De l’éternité
se sauver de l’éternité, quelle belle image, si dramatique
Merci Fernan 🙂