
nous fredonnions ensemble
et tu trouvais ça beau
et les lettres des mots
qui effleuraient la peau
mais les sentiments étranges
qui rendaient le cœur gros
tracés à grands traits
dans le sable disparaîtraient
avec la marée du soir
puis on se tiendrait la main
en marchant lentement
il n’y avait que la vérité
au bout de notre sentier
superbe !
Merci Michusa 🙂