Il se tenait sur une branche, distrait par je ne sais quoi : il rêvait peut-être. C’est ainsi que je l’aperçus. J’avais lu qu’on pouvait observer de temps en temps des martins-pêcheurs au bord de la rivière Maitai, mais après deux semaines de promenades régulières, j’avais accepté l’idée qu’ils ne se montreraient pas. Donc, aujourd’hui, me disant que j’avais déjà photographié les copains de la rivières Maitai sous tous les angles possibles, je n’ai pas apporté mon appareil photo, malgré la petite voix qui me disait que c’est toujours lorsqu’on néglige d’apporter son appareil qu’une occasion exceptionnelle se présente.
L’oiseau m’aperçut et, surpris, s’envola aussitôt. Il faut toujours écouter la petite voix !
Les martins-pêcheurs sont de grands timides! Mais en te lisant, on le voit quand même.
Merci Dominique.
Isn’t that always the way?
It is always for me. Thanks for visiting 🙂
Texte que j’ai bien apprécié….bonne journée…Bisous
http://img11.hostingpics.net/pics/394300IMG1768.jpg
Merci de ta visite Georges 🙂
aucun regret, il est quasi impossible de photographier le martin…….donc le *voir*, c’est déjà LE bonheur! tu es chanceuse et merci pour ce *partage* 🙂
Merci de ta visite Malyloup !