
sourire du bout des doigts pour couvrir le chaos du monde, en apercevant de loin plus d’échecs que de victoires, ou bien le contraire, j’ai oublié (je ne parle guère aux dieux après le petit-déjeuner).
sourire du bout des doigts pour couvrir le chaos du monde, en apercevant de loin plus d’échecs que de victoires, ou bien le contraire, j’ai oublié (je ne parle guère aux dieux après le petit-déjeuner).
Et un sourire m’est venu. Un grand, un bon.
Doux réveil, Sylvie.
Merci Caroline
sourire, sourire….si vrai..merci sylvie !
Merci Irene.