Il s’agit de savoir si l’on va entrouvrir la porte de l’esprit
pour secouer les pensées engourdies
dans l’air frais des idées.
Ou laisser l’écume du temps,
et le sable des mots
raconter les histoires.
A nouveau.
Avec les oiseaux
noirs
sur les branches des jours habituels