C’est là que vous la trouverez (bientôt)
Si vous la cherchez (vraiment) :
Chemin de la Galère
Au lieu-dit des inconnus fatigués,
Dans le pays lointain des mots qui ne sont plus vides
Inutile d’en chercher le code :
La poste ne s’y rend plus depuis longtemps.
Il s’agit de savoir si l’on va entrouvrir la porte de l’esprit
pour secouer les pensées engourdies
dans l’air frais des idées.
Ou laisser l’écume du temps,
et le sable des mots
raconter les histoires.
A nouveau.
Avec les oiseaux
noirs
sur les branches des jours habituels
Par la fenêtre, épier les passants qui viennent et vont sur la jetée, sans être vu, jusqu’à la tombée du jour.
Et puis allumer la lumière et ce sont maintenant les passants, dont la curiosité est piquée, qui épient ce qui se passe à l’intérieur.
Qui regarde qui maintenant ?
(et quand fermera-t-elle les volets ?)
51.67183-4.697255
J’étais dans le passage obligé de l’indépendance aux exigences,
et la rébellion de l’oeil (ouvert) contre l’assujettissement de la semaine.
Mais on aurait juré que je contemplais la lune par la fenêtre.

Anciennement cami de Cotlliure a cosprons
Maintenant Impasse rue de la galère
Anciennement plaça dele Ballesters, career del Pou Nou,
plaça del Port,
Maintenant rue du Port
Un blog experimental voue a la poesie du quotidien sous toutes ses formes/An experimental blog devoted to poetry in all its forms