
dans le désordre de la plage
rocailleuse, l’harmonie des pierres
des signes d’âge
des traces fières
de leurs voyages
dans les rivières
(mais ne pas regarder plus loin que demain)
oublier les grands thèmes
avec des rimes pour une fois
le printemps fait du bruit
L’attirail se traduit
dans le miroir des autres,
des sourires aux caméras
qui ne vous regardent pas.
S’écrier dans les allées qui
vont déboucher sur le gris
des pierres : postérité oubliée
(il faut soigner sa calligraphie)
clopiner doucement
dans l’inégalité des pierres
le passé remonte