
laisser fondre ma volonté dans la froideur du mois d’août, bien secouer les poussières de regrets en ouvrant la fenêtre, te regarder au travers de la pluie, un peu triste comme des larmes sur la vitre.
laisser fondre ma volonté dans la froideur du mois d’août, bien secouer les poussières de regrets en ouvrant la fenêtre, te regarder au travers de la pluie, un peu triste comme des larmes sur la vitre.