
A travers la fenêtre mouillée, regarder la tristesse s’installer, mais aussi une certaine beauté, qui accepte le temps qu’il fait, attend, respire, écoute le temps bruiter dans la grande salle presque vidée de ses voyageurs.
A travers la fenêtre mouillée, regarder la tristesse s’installer, mais aussi une certaine beauté, qui accepte le temps qu’il fait, attend, respire, écoute le temps bruiter dans la grande salle presque vidée de ses voyageurs.
Il était difficile de trouver une place, dans la foule, de faire une différence, n’importe laquelle, de trouver une niche, un discours dans sa cellule unique et isolée. Une fois elle se perdit dans l’anonymat de la foule sans chercher SA place, elle se perdit dans les détails. On la cherche depuis, mais on la trouve parfois.