Lorsque je pense à ceux-lå qui ont effleuré mon histoire puis ont disparu dans les archives du temps, sans laisser de traces tangibles, et moi la même chose, lorsque j’y pense, je cligne des yeux (on dirait).
Archives de catégorie : poemes en prose
fait accompli*
nous redoublerions de prudence, devant le fait accompli, il faut tout de même être honnête et ne rien dire de grave ou de vrai. Serrer les dents conviendrait tout à fait.
*d’abord publié en juillet 2019, révisé en juillet 2019
En fermant l’oeil
Les histoires des autres, dans la ligne de vie
qui s’étire en fermant l’oeil.
Ou les deux qui tentent de me dire
le chemin. Marché. Parcouru. Usé. Hors d’haleine.
Parfois il faut se reposer.
d’ombre et de lumiere
au-delà du mur
à travers le soir
des transparences et
des histoires flottent
c’est certain. Le temps passe
et laisse des traces
de temps en temps
on parlerait entre les lignes, de petits mots de temps en temps, des sons qui marqueraient le pas, puis du silence plein les oreilles, en descendant de la colline, on se rapellerait le bon vieux temps.