
Disgrace m’a également beaucoup marquée.
Aujourd’hui, je me contente de citer la première phrase inoubliable de ce roman :
Pour un homme de son âge, 52 ans, divorcé, il a, du moins de son point de vue, plutôt bien réglé la question du sexe.**
Coetzee, J.M. (1999). Disgrace, London : Random House.
Et vous, traînez-vous dans vos bagages des premières phrases inoubliables de romans ?
* La photo a été prise par Mariusz Kubik, http://www.mariuszkubik.pl – own work, http://commons.wikimedia.org/wiki/User:Kmarius. Licensed under CC BY 2.5 via Wikimedia Commons – http://commons.wikimedia.org/wiki/File:J.M._Coetzee.JPG#/media/File:J.M._Coetzee.JPG
** ma traduction